ANNIVERSAIRE DES 200 ANS DE L'OPERA "LA PIE VOLEUSE"

04 Novembre 2017

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LES 200 ANS DE L’OPERA « LA PIE VOLEUSE »

 

 

 

Tout a commencé à 15h avec un concert interprété par Daria Aymé-Martin Mezzo-soprano et son pianiste Jonas Atlan.

L’artiste nous a chanté Plusieurs airs de différents opéras, avec sa voix féérique nous nous sommes envolés dans le pays merveilleux et enchanté de la musique et du chant Lyrique.

 Avant chaque interprétation, Daria nous rappelais l’histoire de l’opéra.

 En plus d’écouter cette magnifique voix, nous avons eu le plaisir de voir Monsieur Adjali avec sa petite fille toujours aussi mignonne et que nous prenons beaucoup de plaisir à la voir grandir, mais aussi Madame Deleurme et notre élu Madame Cheniaux. Nous les remercions chaleureusement de nous avoir offert ce moment. Nous remercions aussi les artistes et espérons les revoir prochainement avec un autre thème de spectacle.

Merci à eux d’être venus nous voir et nous offrir ce moment.

Nous profitons de cet article, pour vous conté la vraie histoire de LA PIE VOLEUSE.

Le comité de rédaction du journal

LA PIE VOLEUSE

 

Mélodrame historique se déroulant dans Palaiseau rural des années 1700 où suite à de menus larcins répétés une servante fut injustement emprisonnée et condamnée à mort.

Après sa pendaison, l’on retrouva un nid de pie contenant les objets ayant disparus. La ville de Palaiseau institua des années durant une « messe de la pie» en expiation de cette erreur judiciaire.

En 1815, Caigniez et D’aubigny présentèrent une pièce de théâtre intitulée « La pie voleuse ou la servante de Palaiseau » retraçant la sordide histoire de cette jeune fille.

En 1817, Giacchino Rossini s’inspira de cette pièce pour présenter une œuvre maîtresse au théâtre de la Scala de Milan.

Bien qu’aujourd’hui méconnu, cet opéra sera précurseur de « l’opera semiseria » (entre éléments bouffes et sérieux) dont germa les caractéristiques du réalisme musical romantique annonçant un dénouement heureux après un coup de théâtre.

De façon bien plus contemporaine, l’histoire inspira Hergé, célèbre dessinateur pour l’une de ces bandes dessinées éponymes des aventures de Tintin : « Les bijoux de la Castafiore ».

 

 

En 1832, lors du passage officiel d’hospice à la maison de retraite, le choix du nom « La pie voleuse » s’imposa pour affirmer l’ancrage territorial, historique et culturel de l’établissement et rappeler son attachement aux valeurs de justice et d’humanité. 

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